Couvrir son regard d’une brume perlée de noir,
Habillée par les mots hachés des hauts tourments,
Au centre de la souffrance radieuse de sa gloire,
Gravée à cœur à l’épice des souvenirs grelottants,
Rougissent les larmes aux creux des mains au soir,
Invitées au deuil journalier, la mort embaume l’existant,
Naissent les douleurs aux noms inconnus, sans foi, ni loi !
©Max-Louis MARCETTEAU 2015
Acrostiche intéressant… Les illustrations (en général) que vous choisissez pour vos textes, sont particulièrement adéquates !
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Bon jour Youri Lybenstov,
Merci à vous de votre passage. 😉
J’essaye au mieux de « marier » le texte à l’image, et cela demande des recherches et de la patience.
Max-Louis
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Bonjour, oui, c’est un complément qui donne une touche supplémentaire ^^
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