La page blanche ne se laisse pas prendre au piège de l’encre si facilement. Il y en a de celles-ci, aussi, qui veulent rester des vieilles filles. Seules quelques ratures s’imposent comme quelques baisers pris dans la pénombre, lors d’une fête, loin des regards inquisiteurs. Au fil des années, elles se froissent, rides qui s’accentuent avec l’amertume et jalousent leurs congénères abreuvées de mots cousus de belles phrases.
Bref, nous pourrions écrire de pleines pages sur la page . . . vierge 🙂
©Max-Louis MARCETTEAU