A la nuit dévergondée d’un feu sacré,
Des envies d’interdits, les corps nacrés,
Goûtent le blanc des chairs ensorcelées ;
Pénètrent les roses intimes du chaos,
Soufflent les bougies d’un équinoxe,
S’épousent aux bacchanales en écho,
Fusionnent dans les bras des hétérodoxes !
A la nuit dévergondée d’un feu sacré,
Des existences franchissent, fascinées,
Le seuil d’un au-delà aux tabous exprimés !
©Max-Louis MARCETTEAU 2007