Oeuvre de Gian Lorenzo Bernini surnommé le second Michel-Ange
Figures indémodables, elles embarquent plus d’un regard.
Émulsionnées d’une main, voire deux, sur son paysage lisse
Séducteur par ses formes rebondies, fermes, parfois s’égare
S’attarde sur leur sillon qui descend à la source du délice,
Entrecuisses qui s’écartent aux caresses soyeuses, un phare,
Se tend à l’accueil, pénétrant un doux orifice pour prémices !
©Max-Louis MARCETTEAU
Le dessous des mots 
Bernini. Voilà qui est exquis.
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Bon jour Dave,
N’est-ce pas ? Il manque des sculptures de cette envergure à notre époque. Mais feraient-ils mieux? Je ne sais. En tout cas ces oeuvres (Bernini, Maillol, Boizot, … ) une certaine éternité humaine qui nous régalent. 🙂
Max-Louis
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Borromini, aussi. Les sculptures tu les sors des mots avec la vision et le coup de génie qui ont nourri ces Illustres. Et ça, tu le fais sans savoir que c’est pour l’éternité humaine.
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Ce que tu écris là est Beau.
A cette éternité humaine les gloussements des mots ne valent pas ces marbres fécondés et cisellés.
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Tu es bien trop modeste. Et c’est tant mieux Max-Louis. C’est un signe de grandeur d’âme.
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