S’ouvrir au seuil d’un vide, aux rêveS
Omniprésents, à la seule vie d’une O
Mutine, androgyne, une voix slaM
Mille mots en vous le quidaM
Emprisonné dans son îlE
Irréelle et crie un jolI
Lève-toi MarceL
Sentir les doigtS
Ostentatoires de cet O
Masculine bande le taM
Majestueux du membre neM
Endurcit au va-et-vient et postE
Illuminé des jets saccadés au crI
L’autre main, vite, vite, vite, MarceL !
©Max-Louis MARCETTEAU
Le sablier du temps, très Apollinairement sublime.
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Merci Dave 🙂
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