Nicolas-François Gromort 01 1837
Agenda Ironique Avril (en 12 épisodes) – Pour la lecture des 12 épisodes déjà écrits le lien ICI
Les illustrations de Nicolas François Gromort (Fondeur en caractères, actif à Paris vers 1830)
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Nicolas et François fauchent.
—… et le mauvais temps approche.
— Il risque de nous faucher notre récolte.
— Il faut en prendre la mesure.
— Oui et pas de la coudée.
— Farceur.
— Oui, c’est pas le pied…
— Pouce !
— Nom d’une pipe…
— A toute raison décubons nos pieds-du-roi cube…
—… bûchons…
— On va stère pour mieux avancer…
— C’est pas faux.
—…
© Max-Louis MARCETTEAU 2020
Le dessous des mots 
Bien, bien, bien, va falloir suivre les faucheurs jusqu’à trouver la rondeur de l’aimée…
C’est ça ? J’ai tout compris ? 🙂
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Bon jour Laurence,
Exactement 🙂 … et tu peux lire directement l’histoire à [Autres Textes].
Bonne journée Laurence.
Max-Louis
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Quand le travail n’attend pas…
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Bon jour,
Et oui, faut pas traîner, loin s’en faut … 🙂
Merci de vos mots et passage.
Max-Louis
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Tant que la faucheuse ne s’invite pas à la fête des moissons.
Tant que la fauche, eux ne s’invitent pas à la fête des mois sont… (sont quoi aux fêtes ?)
Bonne journée, Max-Louis
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Bon jour Jean-Louis,
Excellent ! 🙂 …Tant qu’à la fauche, les pickpocket de l’époque passaient au pilori avec tomates, patates et autres injures et humeurs à volonté … 🙂
Merci de tes mots et passage 🙂
Bonne journée également à toi, Jean-Louis.
Max-Louis
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bien, bien, je m’en vais de ce pas réviser mes unités de mesure ! Merci Max-Louis ! en épisodes, ça rallonge le plaisir de lire 😀
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Bon jour,
Je me suis penché aussi sur ces mesures pour éviter d’écrire trop de bêtises … 🙂
Merci de vos mots et passage.
Max-Louis
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Après avoir pris une bonne cubuite, j’ai décubé comme on dit. Et une forme de lumière m’a fauchée en pleine stère, me voici toute voltée par le tracteur de la moisson, où une faucheuse oeuvre dans le champ de blé d’une coudée franche. Décidément, Max-Louis, votre talent dépasse même l’article ici-présent, et suivre le fil nous conduit vers une merveilleuse pente gravissant monts et merveilles, quel bel agenda vous faîtes bien cher internaute doué du verbe et grand meneur de suite.
Bien belle journée, Maître Iotop, admiration et gratitude.
Vous allez épâter la Cène de Pâques en son entier premier.
Avec le sourire en catimini où mes pieds sont lavés, et puis un petit mouchoir par-dessus afin de les sécher, je te salue bien fraternellement, Monsieur l’Ârtiste.
🙂
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Ah, un feuilleton ! suivons le de ce pas. De ce pas d’un pied du roi, bien sûr (soit douze pouces,ce qui est beaucoup pour un pied) !
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Bon jour Carnetsparesseux,
Douze pouces, c’est pas le pied c’est vrai mais si c’est un pied Gulliver? 🙂
Merci vos mots et passage.
Max-Louis
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