L’alcôve de l’amour nous met en branle

Photo de Philippe Images – Grâce

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Toute femme est une eau vive … faut-il trouver sa source. Et je n’ai pas scrupule à vous écrire que j’ai découvert des eaux vives à des endroits bien différents …

Si toutes les femmes sont belles quand on les aime … il y a une part de moches même si le cœur est paraît-il beau, ça n’illumine pas le désir soyons honnêtes devant la glace qui nous sourit …

L’alcôve de l’amour nous met en branle pour tenir les promesses sensuelles et les succulents moments qui se tiennent pour ardents comme le feu attise l’appétit d’un sirocco …

Et le rustique s’éprend de la chair devenue animale par effet dévorant l’oxygène développant des audaces des ardeurs des tentations dépossédées de la pudeur qui se découvre en ses retranchements comme tout … le monde …

La poésie s’épanche de sa coloration naturelle, et les onomatopées prennent toutes leurs places …

La prose, elle, bouillonne au parfum vétiver dans son coin … à écrire ce qu’elle ne connaît pas… s’écrit-elle par élégance

© Max-Louis MARCETTEAU 2020

11 réflexions sur “L’alcôve de l’amour nous met en branle

    • Bon jour Marie-Anne,
      Oui, un texte très « soft » … je ne suis pas capable d’écrire de l’érotisme, surtout 🙂
      Effectivement la beauté des uns n’est pas la beauté des autres 🙂
      Merci de vos mots, passage et compliment.
      Bonne journée
      Max-Louis

      Aimé par 1 personne

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