Quand un jésus compte ses épines au bord d’une Tamise

Livre de Louis Enault 1876 – Londres – Gravure Gustave Doré – Arbre géant de Kensington

Blog : Éveil & Vous – Éditions (Challenge du 1er au 28 février)


D’un pas à un autre il est dimanche et le temps dépose le fardeau des pauvres et des nobles sur la même ligne d’horizon quand un jésus compte ses épines au bord d’une Tamise comme baptisée par ces hommes des défauts de leur condition avant qu’ils ne regagnent leurs rôles même dans leur logis …ou leur appartement.

© Max-Louis MARCETTEAU 2021

6 réflexions sur “Quand un jésus compte ses épines au bord d’une Tamise

  1. « Leur appartement, ou même dans leur logis, leurs rôles (qu’ils ne regagnent avant leur condition) ?
    Des défauts, ces hommes ?
    Une Tamise comme baptisée par, au bord, ses épines, compte un Jésus.
    Quand, sur la même ligne d’horizon (des nobles et des pauvres) le fardeau dépose le temps…
    Et dimanche, ?
    Il est à un autre, pas d’un… »

    tentative de lecture à rebrousse-poil ; le sens devient un peu abstrus !

    Aimé par 3 personnes

    • Bon jour Carnetsparesseux,
      Diantre ! Alors, tu as raison la compréhension n’est pas visible … au premier coup d’œil … il faudrait, effectivement, une explication de texte … 🙂
      Par exemple, pour le jésus sans majuscule c’est la représentation d’un crucifix sur l’une des berges de la Tamise que l’on sait pourvoyeuse décès assez violents et qu’aucun repos n’aura lieu pour ces morts…
      Et puis à ce dimanche qui de pauvres à riches est identique, c’estun repos sacré pour tout le monde …
      Et puis leur condition d’hommes dans des rôles différents avec des défauts aussi bien à l’extérieur que chez eux : logis pour les pauvres et appartement pour les riches …
      Voilà quelques éléments pour éclaircir la chose 🙂
      Et il est vrai qu’il n’y aucune ponctuation … 🙂
      Merci de tes mots, passage 🙂
      Max-Louis

      Aimé par 2 personnes

    • Bon jour Hélène,
      Il est vrai que parfois mes textes sont obscurs 🙂 mais quoi qu’il en soit un texte fait toujours « défaut » de clarté et l’interprétation à libre cours …
      En tout cas merci de ta « persévérance » …:)
      Merci de tes mots, passage et compliment.
      Bonne soirée à toi, Hélène.
      Max-Louis

      Aimé par 1 personne

  2. Bonsoir Max-Louis,
    Je trouve cela plutôt sympathique ce Jésus qui compte ses épines en fait !
    Une épine,
    Deux épines,
    Trois épines,
    Une vache.
    Une épine de vache dans deux ou trois épines d’épine.
    Epineuse question que l’épine d’épine qui voulait se faire aussi grosse que la vache.
    Remplaçons la vache par une souris.
    La souris sourit. Ah mais les épines, se dit-elle, moi, je les enlève des sabots des vaches avant qu’elles ne les piquent.
    Retour sur la sCène d’avec Jésus.
    Une épine tamisée par un sabot de vache que la souris souriante retirera bien avant que la piqûre de rappel ne se fasse sentir.
    Bon ok, c’est décalé au possible cette histoire épineuse d’épines aux Jésus que même les sabots des vaches ne peuvent faire défaillir, du verbe défaut, lui-même issu de la racine du massif de ronces dont sont issues les épines. (étymologie épistémologique selon le pilates abdominal transverse).
    Mais quelle patience faut-il donc pour ôter les épines une à une de toutes les questions épineuses auxquelles tout un chacun se trouve confronté à un moment ou un autre de sa vie ?!
    Mon épine du pied pour te servir, cher ami piqué d’écriture.
    Bien belle soirée d’où chaque seconde s’épile à la pince à épines.
    JoBougon aux commentaires piqués de rouilles et d’épines.
    Laisser fer. La nature est autonome.

    Aimé par 3 personnes

    • Bon jour Jo,
      Diantre ! Tout à fait étonnant sur l’épine dorsale de l’échelle dit de l’Epi ça pique franchement l’épiderme habillé d’un dégriffé cousu mains sur l’étoffe transportée par contrebande jusqu’à la scène de la grève d’un Jésus en question qui créchait tel un vagabond n’avait pas vu venir … 🙂
      Quoi qu’il en soit de la souris à la vache le point commun est quadrupède quand l’un grignote le fer à cheval porte bonheur l’autre rumine son état mais hélas ne fait pas son beurre et la souris plisse le sourcil gauche devant cet état de fait de la vache qui aurait du prendre depuis longtemps le taureau par les cornes mais comme dit la souris rieuse :  » Vache qui sourit n’est pas vache que rit » comme quoi, il y a dans ce monde deux poids deux mesures et des regards que les étages du haut comme du bas ne peuvent s’entrecroiser ainsi va de la souris à la vache …
      Je voulais par mes propos me retirer une épine de la ligne en te répondant mais j’ai la nette impression d’avoir en enfoncé … le clou … comme quoi qui veut bien faire se retrouve sur le croix… du mauvais chemin 🙂
      Belle soirée à toi également avec ou sans épilateur 🙂
      Savoir fer, la nature a son sonotone …
      Max-Louis coiffé de son bonnet de nuit en lutin… 🙂

      Aimé par 2 personnes

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