Minéral en dentier de bel effet sur une pleine Lune

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Théâtre de la Gaîté – Le voyage dans la Lune
opéra-féerie – 1875

Challenge Lune et des participants

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… minéral en dentier de bel effet sur une pleine Lune dévorante de beauté le Lac de l’Effroi l’humain déviant sa route de la nuit cauchemarde comme un puits coupable de la noyade de l’amant loup-garou à belles dents d’aimer …

© Max-Louis MARCETTEAU 2021

20 réflexions sur “Minéral en dentier de bel effet sur une pleine Lune”

  2. Il ne voulait pas qu’elle ait froid. Deux coupables humains ? Rien n’est moins sûr ! Plutôt une co-chamade de route, déviée de la noyade par un puits plein d’aimer. D’entière âme en beauté, gare où tu t’éprends, cher loup. Elle a de belles dents et sait bien dévorer – le jour plus que ses nuits- sans lune ni lac rimer.
    🙂

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    • Bon jour Marie-Anne,
      Effectivement, il fallait mieux pour ces hommes d’exceptions pour leur moral qu’ils se posent du bon pied dans un endroit … tranquille 🙂
      Merci de vos mots et passage 🙂
      Bonne soirée à vous.
      Max-Louis

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  5. Les lacs se suivent et ne se ressemblent pas. Il faut vite fuir celui-ci et ses dents-de-lion qui semblent déchiqueter le bonheur et son ami amour au passage. Les nuits, elles aussi, se suivent et ne se ressemblent pas et bientôt la Lune se montrera plus belle et moins tourmentée… Je le crois…

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    • Re bon jour Florence,
      Les lacs ont chacun leur personnalité… la Lune est porteuse de ce que l’humain lui octroie de noms … parfois bien malgré elle …
      Merci de tes mots et participation 🙂
      Bonne soirée 🙂
      Max-Louis

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  6. Dans le cadre des animations lunaires, il fut question de proposer un festival de films d’horreur au bord du Lac de l’Effroi. C’était une excellente idée qui fut cependant abandonnée par crainte d’un manque de spectateurs. Il fallait organiser de nombreuses navettes entre la Terre et la Lune et les réticences pour un tel voyage sont encore nombreuses…

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  7. Il fait un effroi de canard en ces lieux croqués par un artiste au crayon gris.
    On entend un loup Garouste hurler au coin sous la lune et sa longue vocalise
    ricoche sur le mur du son de l’amour, opérant le miracle de la plénitude lunaire
    au rire délicieux d’un reflet obscur dissipé.
    La gaité au cœur se tient droite devant lui et tout soudain s’ensoleille.
    Tiens ! J’ai failli avoir peur, s’exclama le canard.
    Bigre, tu féérique de toutes tes entournures de formules, Max-Louis, mais où donc
    vas-tu puiser tous ces fabuleux colliers de lacs lunaires dont l’ensemble arrivera-t-il
    à un rassemblement un jour où l’autre jour ?
    Je te dépêche une bien jolie petite dent contre personne à additionner à celles du loup
    et de l’appareil dentistique avec les plus belles molaires qui soient d’une époque
    que les moins de deux que ce ne fut un sabre, bigre diantre bleu.
    Sans oublier toute ma beffroiserie affectueuse.
    🙂

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    • Bon jour Jo,
      Je suis dans la tentation jusqu’au cou d’écrire : le canard aime-t-il le lait froid ? Effectivement, il n’y a qu’un jeu de mots qui n’a pas froid aux yeux ni l’effroi dans le dos aux frissons de glace à la ligne à l’encre de la flottaison d’un bleu profond qui n’a rien d’acier dans les yeux pour dévier cet écrit vers la «plénitude lunaire» … c’est à la fois beau dans l’inquiétant…
      «… l’ensemble arrivera-t-il à un rassemblement…» …. il est prévu que j’édite quelques exemplaires de l’ensemble des textes sur la Lune avec les commentaires des participants.es (avec accord) et que j’offre à chacun et chacune le livre ainsi imprimé … (mais chuttttt)
      Je te morse quelques mots aux affectueuses pensées que je multiple entre là et là … 🙂

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