Challenge Lune et des participants
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… pépins dans le Marais des Épidémies les grimaces font plaintes par échos dans les plaines de la nuit en compagnie de la lune noire propice aux déferlements des fièvres qui s’unissent pour créer au menthol un linceul …
© Max-Louis MARCETTEAU 2021
Mise en bouche (ou avant goût),
seront utilisés les mots suivants:
ment tôt, l’un -seul-, eh pis démit, Grimm ace, ma raie …
Et j’espère bien avoir des nouvelles de Jo’s canard 😉 ! Pour le moment, marché, courses et tutti quanti dans mes terres d’origine pour motif impérieux (faut bien s’occuper d’l’ascendaille), bonne journée !
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Bon jour Lys,
J’en ai l’eau à la bouche … 🙂
Bonne journée
Max-Louis
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Un Marais des Épidémies sur la Lune ? Ah ! non pas ça ! On a notre dose sur la Terre ! À fuir absolument…
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Bon jour Domi,
Et oui, mais pour la Lune il faut en passer par là … 😦
Merci de tes mots et participation 🙂
Bonne journée.
Max-Louis
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Le linceul lunaire se secoure populairement suivant l’adagio Daltonien suivant. Ici le rouge allô le vers quatrième de couverture. Vite, un vaccin contre l’aveuglement ambiant. Les laboratoires Hitlériens vous proposent un passeport obligatoire plombés aux ailes du désir de vivre à n’importe quel prix, pourvu que la mort n’y soit pas. Perchée sur sa faux, aiguille talon à la main, la grande squelettique de la limite attend l’heure, heureux soit le temps qui passe avant d’arriver à la frontière.
Max-Louis, puisqu’il en est ainsi, je te canardise une grosse bise au front de la résistance. Tout en te toutimant et un bon coin-coin de repos, et une excellente fin de semaine. Le début est lundi ou dimanche ?
C’est encore à découvrir.
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Bon jour Jo,
«d’arriver à la frontière», …le passeport est gratuit avec ou sans talons aiguilles la faux sa pique telle l’abeille son printemps est fleur parfum mortalis l’os se masse le cartilage tel un membre fantôme qui n’a plus sa carte d’adhérant normal la fixation a lâchement lâchée ô lâche sache que l’ache n’est pas persil ni ciboulette dans l’ô pale c’est minéral de l’un seul même la hache se faufilait sans faux-filet en catimini loin s’en faut faut-il le souligner d’un trait que l’arbalète de ligne ne fait pas les doux yeux «aux (les) ailes du désir» (superbe référence) …
Comment résister à cette bise qui vient de loin en loin à vol d’oiseau d’une plume messagère ? Je te transmets un arc-en-ciel en accolade touteici et qu’importe les conventions de jours pour recevoir ce modeste hommage … 🙂
Max-Louis
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Yes !
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grimace et plaintes ? , je préfère que la lune danse au dessus de la bougie…
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Bon jour Carnets,
Intéressante image que celle de « la lune danse au dessus de la bougie » … 🙂
Merci de tes mots et passage 🙂
Max-Louis
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Jamais il ne ment tôt, l’une le sait très bien, si unie à l’un -seul-, créateur de Grimm ace et de belle compagnie.
Que songeait Taire si pleine?
« Faire et refaire ma raie, ce si doux parallèle ! »
Eh pis démit ses plaintes -propices aux fièvres noires-, sans déferlements vains, en écho de ses nuits.
Grimm est un conteur.
Un ace est une balle de service -au tennis- qui fait le point, l’adversaire n’ayant pu la toucher ou un trou -au golf- réalisé en un coup. Bref, une victoire.
Une raie est une ligne tracée pour délimiter un espace géographique ou un sillon anatomique, une ligne (deuxième) qui se trouve sur le corps humain, utile à l’éducation sentimentale (« Entre son corps et son vêtement sa chemise bâillait, je voyais toute la raie de son dos, dont la ligne se perdait vite à la courbure de sa taille » Flaubert, 1reÉduc. sent.,1845, p. 113).
🙂
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Bon jour Lys,
« parallèle » me fait penser à longitude que Taire à terre en sait quelque chose aux angles de son humeur… 🙂
Merci de vos mots, participation et précisions 🙂
Bonne soirée 🙂
Max-Louis
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