Que restera-t-il de ma peau – cette peau toute douce de naissance qui a pris les fouets de la vie aux traçages dont on ne sait quel destin se rit bien de ce qui est juste ou injuste car il ne fait pas de distinction sur la ligne départ – qu’une simple épopée individuelle qui séchera quelque part dans un caveau à une place dans une terre qui n’a pas de nom ?
Et que devient cette deuxième peau que l’on nomme par défaut : l’instinct de survie, imperceptible et fait figure d’un tout mystérieux dans le corps de l’âme que chevauche l’alchimie du récit qui fait acte ?
© Max-Louis MARCETTEAU 2022
Le dessous des mots 
la peau si douce au commencement et qui se réduit en peau de chagrin à la fin…. On écrit nos vies sur des parchemins. Belle fin de semaine Max-Louis
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Bon jour Hélène,
Oui, tout à fait, des parchemins qui s’étioleront au fil du temps à l’ombre de l’oubli…
Merci de tes mots, passage.
Bon week-end à toi 🙂
Max-Louis
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l’instinct de survie qui fait figure d’un tout mystérieux dans le corps de l’âme que chevauche l’alchimie du récit qui fait acte ! Damned, il n ‘y a que toi pour écrire de telles phrases, Max-Louis !
Je te souhaite une bonne soirée.
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Bon jour Jean-Louis,
J’ai une alchimie d’écriture particulière, possiblement … 🙂
Merci de tes mots, passage et compliment 🙂
Bonne journée soleil à toi.
Max-Louis
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Alchimie des mots projetés dans l’éternité de l’espace par une fibre arc-en-ciel ?
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Bon jour Danielle,
Joliment écrit 🙂 Oui, pourquoi pas 🙂
Merci de tes mots et passage et questionnement 🙂
Bonne journée soleil.
Max-Louis
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