Une fois n’est pas coutume, je me suis exercé à un « exercice de style » avec les derniers vers du fameux poème « L’EMPREINTE » de Anna de Noailles (1876 – 1933) sur l’avis d’Ibonoco 🙂
«
la vie, tel serrement ravie mon enlacement. le monde étalé, de son eau âcre et salée roule comme un bateau. le pli des collines ont vu fleurir aux branches de l’épine mon désir. la verdure nouvelle des fossés comme des ailes tant pressés. mon domaine ma persistante odeur de la tristesse humaine de mon cœur…
»