« Qu’il est long de mourir ». Il n’y a pas de chaîne plus lourde qu’une malédiction qui hante les années sur une plage de sable cendré de celle qui aimée n’est qu’un fantôme que l’on habille de mots vides de peur de voir sa nudité comme une prière salée de désirs épinglés sur les pourtours d’un corps défait, corrompu qui n’attend que la défenestration.
© Max-Louis MARCETTEAU
Trop triste Max-Louis 😦
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Bon jour Sylvie,
Quand la vibration de l’Amour n’est plus là, on survit « et tout le reste est littérature ».
Max-Louis
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